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Le constructeur est responsable des dommages ou malfaçons qui affectent l’ouvrage / la construction. Le professionnel est tenu par la garantie biennale et décennale (voir ci-contre) mais également par la garantie de parfait achèvement qui s’applique pour les désordres constatés dans un délai de 1 an à compter de la réception des travaux.
La loi dispose que l’on est responsable des dommages que l’on cause et de ceux causés par des personnes dont on doit répondre. Ainsi, l’entrepreneur est responsable pour les dégradations ou les biens cassés par ses ouvriers lors de la réalisation des travaux.
La loi prévoit une garantie permettant de se retourner contre l’entrepreneur / le constructeur de l’ouvrage en cas de défauts ou malfaçons constatés sur les éléments d’équipement de l’ouvrage (fenêtre, porte, radiateur, parquet, etc.) dans les 2 ans de la réception des travaux.
La loi prévoit une garantie permettant de se retourner contre l’entrepreneur / le constructeur de l’ouvrage en cas de défauts ou malfaçons qui affectent la solidité de l’ouvrage ou le rende impropre à sa destination et qui sont constatés dans les 10 ans de la réception des travaux.
Litige.fr. vous permet de mettre en œuvre ces gara ntie par l’envoi d’une mise en demeure (49,90€ TTC) ou d’une lettre d’huissier (à partir de 99,90€ TTC).
L’entrepreneur / l’artisan est responsable de l’inexécution du chantier. La loi précise qu’il est possible de demander l’annulation du contrat mais aussi de demander à ce que le chantier soit terminé. Ces demandes peuvent être faites par l’envoi d’une mise en demeure ou d’une lettre d’huissier.
L’entrepreneur est tenu de terminer le chantier et de réaliser les travaux comme indiqué dans le contrat. En cas de retard, la loi permet de demander la fourniture immédiate de la prestation, le paiement de dommages et intérêts, voir même de dénoncer le contrat par lettre de mise en demeure ou lettre d’huissier.
Certains contrats de ventes immobilières peuvent comporter une clause d’exclusion de garantie contre les vices cachés. Cette Clause peut être écartée en cas de mauvaise foi du vendeur. Le fait que la garantie contre les vices cachés ne soit pas applicable, n’exclut pas forcément l’application de la garantie de parfait achèvement, de la garantie biennale ou encore de la garantie décennale.
Avec la garantie contre les vices cachés, la loi permet à l’acheteur de se retourner contre le vendeur pour les défauts qui ont été cachés lors de la vente et qui rendent le bien impropre à l’usage auquel il est destiné. L’acquéreur peut mettre en œuvre cette garantie dans les 2 ans de la découverte du vice.
Avant l’exécution de travaux, le professionnel doit remettre un devis détaillé (notamment sur le coût) des prestations envisagées. Sans devis signé, il est possible d’adresser à l’entrepreneur / l’artisan une mise en demeure ou une lettre d’huissier afin de contester la facture.
Un devis détaillé doit être remis et signé par le client avant l’exécution de la réparation. Suite à l’intervention, le serrurier doit remettre au client une facture conforme au devis. Une pratique abusive de certains professionnels consiste à imposer au client une ouverture forcée de la porte alors que cela n’est pas nécessaire.
Le plombier est tenu d’informer le client du coût de la prestation avant sa réalisation. En cas de mauvaise exécution ou de malfaçon suite à l’intervention du plombier, il est possible de faire jouer la garantie de parfait achèvement, la garantie biennale ou encore la garantie décennale.
L’électricien est soumis à une obligation de résultat. En cas de défaut ou malfaçon suite à la réalisation de la prestation il est possible d’engager la garantie de parfait achèvement, la garantie biennale ou encore la garantie décennale.
L’architecte est tenu par un devoir de conseil, notamment envers la viabilité du projet qui lui est demandé.
Le cuisiniste est tenu de poser les éléments de la cuisine tel que convenu dans la commande. L’entreprise doit effectuer sa prestation dans les 30 jours de la conclusion du contrat ou dans le délai prévu au contrat. Le cuisiniste est tenu d’appliquer la garantie de conformité mais aussi les garanties de parfait achèvement, biennale et décennale.
Un pisciniste est soumis à un devoir de conseil. La responsabilité du professionnel peut être engagée à travers la garantie contractuelle ou encore le devoir de conseil lorsque les garanties légales (parfait achèvement, biennale, décennale) ne peuvent pas être mises en œuvre.
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